Parce que je vis en Thaïlande

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"Aller en Thaïlande, est un beau pays et la vie ne est pas cher!", donc il ya quatre ans, avant Noël, Je suis parti pour mes vols vacances, pas au courant de combien je aurais coût, et non en termes économiques! Je ai besoin de vacances de mes motifs, et après quelques semaines de voyage autour de la Thaïlande je suis allé dans le nord, A Chan Mai, où je ai laissé ma valise dans une maison d'hôtes, Je ai préparé un sac à dos avec une serviette pour le bidet, deux paires de sous-vêtements, deux chemises, bikini, brosse à dents et du dentifrice. Pendant une semaine, je ai décidé de dire au revoir à votre ordinateur, l'silkepil, le gommage, de crèmes pour le corps, émail. Je voulais marcher, marcher, scalaire.

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Je ai senti que je avais besoin de contact avec la nature, où ne existent pas les besoins. Donc, je me suis dirigé un guide local. Marché pendant une moyenne de sept heures par jour, nous avons atteint les villages reculés, sans eau courante ni électricité où il a pêché et sciabattavo pour la jungle sauvage. Je ne ai jamais fait qu'il est plus difficile de ma vie: moustiques, l'humidité et sacrément chaude ne me ont pas donné de répit et me ont donné aucun répit le fait de savoir que l'arrivée il y avait encore quatre heures, trois heures, dû, que le lendemain serait égal, que si rampavo sur ces chemins et humide

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glissante que je ne pouvais pas penser et se envoler avec des pensées, mais je ai dû y rester, avec les yeux sur l'endroit où je allais. Et de temps doublé, jour, mais ils semblaient 36 heures, semaine par mois: ce était juste moi, dans la jungle sauvage. Et mon guide, Étang. Sans lui – jeune thaïlandaise avec l'âge chronologique de vingt-deux, a déclaré la naissance six ans plus tard parce que les parents ne ont pas les moyens d'obtenir les naissances de bureau - je serais encore là.

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Chaque fois que je lui ai demandé ce qui manquait à l'arrivée je ai répondu ridendosela: "trois heures, mais pour vous Debby six heures ", est aussi pourquoi le temps ne semble pas passer jamais. Je ne pourrais jamais répéter une expérience similaire, même si pour la première fois je ai senti satisfaits et fiers de la route que je avais voyagé avec mes jambes. Je me sentais pleine d'énergie et vidé de ces pensées qui compliquent la vie de tous les jours. Je étais enfin prêt à retourner en Italie et reprendre ma vie et mon travail.

À Suivre…